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Combien d’heures par jour passez-vous devant un écran ? C’est la définition-même du concept de temps d’écran : le temps que vous passez devant un smartphone, un ordinateur portable, un ordinateur, une tablette ou une télévision. Le temps que passent les enfants devant les écrans doit être limité. Découvrez les conclusions des études menées à ce sujet, des conseils pour définir des limites de temps d’écran raisonnables et et comment une application complète de cybersécurité peut vous protéger, vous et votre famille, en ligne.
Le temps d’écran optimal est un sujet qui touche de près le développement cérébral. C’est pour cela que le temps d’écran en fonction de l’âge est un facteur important lorsqu’il s’agit de déterminer si l’accès aux écrans doit être bloqué et comment définir des paramètres de restriction ou comment gérer et limiter l’accès à un appareil et à ses applications.
Le développement du cerveau se déroule majoritairement pendant les premières années de la vie de l’enfant. De fait, la taille moyenne du cerveau d’un enfant double dans sa première année et représente déjà environ 80 % de la taille d’un cerveau adulte à l’âge de trois ans. Nous naissons tous avec tous nos neurones, mais ce sont les liaisons qui se créent entre les neurones qui font fonctionner le cerveau.
Trop de temps d’écran et moins de temps d’apprentissage par le jeu libre et les interactions, c’est moins de temps disponible pour que les réseaux entre les neurones se constitue. Les recommandations en matière de temps d’écran sont donc importantes pour que les enfants se développent correctement et atteignent leur plein potentiel.
C’est aussi pour cela que l’âge est un facteur important pour le temps d’écran recommandé. Le cerveau du nouveau-né est radicalement différent du cerveau d’un enfant de cinq ans, qui est lui aussi radicalement différent du cerveau d’un adolescent. Donc, combien de temps passent en moyenne les enfants devant un écran ? Probablement bien plus que ce qui est recommandé.
Recommandations de temps d’écran en fonction de l’âge : les tout-petits ne doivent pas passer plus d’une heure par jour devant un écran.
Les effets du temps d’écran sur les bébés sont controversés et ne sont pas encore scientifiquement déterminés. En avril 2019, l’Organisation mondiale de la santé a publié pour la première fois des lignes directrices sur le temps d’écran, en précisant bien que ces conseils se basaient sur les « faits constatés » et non sur des « preuves scientifiques ».
Trop de temps d’écran et moins de temps d’apprentissage par le jeu libre et les interactions, c’est moins de temps disponible pour que les réseaux entre les neurones se constituent.
De zéro à deux ans, l’OMS déconseille formellement tout temps d’écran passif. Donc, si vous vous demandez quel est le temps d’écran raisonnable pour un enfant de deux ans, la réponse est « aucun ».
D’autres sources, par exemple l’American Academy of Pediatrics (AAP), déconseillent tout temps devant les écrans pour les enfants de moins de 18 mois, à l’exception des conversations vidéo. La recommandation de cet organisme est de commencer à proposer des programmes de qualité aux enfants à partir de 18 à 24 mois.
Il existe une différence claire entre le temps d’écran passif et le temps d’écran actif. Le fait de laisser un bébé face à un écran diffusant un programme au hasard n’a rien à voir avec une conversation vidéo active avec un proche ou un programme éducatif conçu spécifiquement pour cette tranche d’âge.
L’approche zéro tolérance peut avoir tendance à stresser les parents, qui se servent des dessins animés comme d’une nounou pendant qu’ils travaillent, cuisinent ou sont occupés à n’importe quelle activité qui exige d’avoir deux mains libres et de se trouver à bonne distance d’un enfant, en particulier s’il est en pleurs. Ces suggestions doivent servir de point de départ pour arriver à une vie de famille plus équilibrée, il ne s’agit pas de règles gravées dans le marbre.
L’information la plus importante est que le temps passé à jouer à des jeux libres contribue bien plus au développement du cerveau de l’enfant que le temps passé devant un écran. Gardez tout cela en tête, mais souvenez-vous aussi que le mieux est souvent l’ennemi du bien.
Le temps passé devant les écrans par les tout-petits fait l’objet de beaucoup de tolérance, quand il n’est pas complètement ignoré. Vers l’âge de deux ans, la plupart des enfants explorent le monde qui les entoure, imitent les animaux et font même parfois des blagues. Un temps d’écran adapté à cette tranche d’âge peut même avoir certains bénéfices pour l’enfant.
En règle générale, pour les enfants de deux à cinq ans, il est conseillé de limiter le temps passé devant les écrans à une heure par jour. Mais d’après le pédiatre Dimitri Christakis, « un enfant en maternelle passe en moyenne [aux États-Unis] quatre heures et demie par jour devant un écran ». Les facteurs clés du temps d’écran pour les tout-petits sont plus liés au contenu et à la qualité qu’au temps réellement passé devant l’écran.
La succession rapide de séquences, avec des scènes d’action frénétiques non-stop, est tout à fait différente de la façon dont se déroulent les conversations réelles, plus lentes et plus riches en contenu.
Donc, si vous n’arrivez pas à tenir votre enfant éloigné de l’écran, intéressez-vous au type de stimulus proposé. Le rythme du programme proposé a un impact important sur la façon dont les enfants traitent les informations. La succession rapide de séquences, avec des scènes d’action frénétiques non-stop, est tout à fait différente de la façon dont se déroulent les conversations réelles, plus lentes et plus riches en contenu.
Comparons le film « Les Supers Nanas, le film » (le premier film à avoir reçu la classification PG plutôt que G en raison de son montage rapide) et « Casimir ».
Casimir est une série lente, sans doute plus lente que ce que nous vivons dans la réalité, et elle comporte des conversations entre êtres humains. Son contenu est d’abord à visée éducative, avant d’être divertissant. Il se concentre sur les valeurs de partage, de bienveillance et de comportements dans la société. En revanche, le film Les Supers Nanas a été créé dans un but de divertissement pur. Il est rapide, voire frénétique, avec des scènes d’action qui se succèdent les unes aux autres.
Vous voyez comment les films d’horreur vous restent en tête des heures après les avoir vus ? C’est la même chose pour les enfants. Le rythme frénétique des programmes de télévision ou des applications leur reste en tête (de façon négative) même une fois l’écran éteint.
Il est un peu compliqué de déterminer le temps d’écran autorisé pour les enfants entre 6 et 12 ans, surtout si vous pensez à acheter son premier téléphone à votre enfant. Donc, quel serait un temps d’écran acceptable pour un adolescent, un préadolescent ou un enfant qui en est encore à apprendre à lacer ses chaussures ? Globalement, pour les enfants âgés de plus de 6 ans, le temps passé devant l’écran ne doit pas perturber le temps de sommeil ou l’activité physique.
Définissez tout d’abord le temps hors écrans, puis adoptez une approche cohérente concernant le temps d’écran et définissez des règles que toute la famille peut suivre.
La règle de base est de définir d’abord les heures sans écran, plutôt que les heures passées devant un écran. Votre enfant dort-il suffisamment (entre 10 et 14 heures par nuit, en fonction de l’âge) et s’adonne-t-il à une activité physique pendant au moins une heure par jour ?
Définissez tout d’abord le temps hors écrans, puis adoptez une approche cohérente concernant le temps d’écran et définissez des règles que toute la famille peut suivre.
Pour les adolescents, la question qui se pose est celle des réseaux sociaux. Le problème prend une toute autre dimension lorsque TikTok, Instagram et YouTube entrent en jeu.
Le temps d’écran conseillé pour un enfant de 13 ans est le même qu’à 18 ans : deux heures de temps d’écran consacrées aux loisirs par jour. La distinction entre temps d’écran de loisir et temps d’écran éducatif est un facteur important pour un bon équilibre à cette période de la vie. C’est tout particulièrement le cas lorsque la scolarité exige beaucoup plus de temps passé devant les écrans et que le risque de cyberharcèlement fait son apparition.
Les habitudes autour du temps passé devant les écrans qui se forment tôt peuvent avoir des effets durables, aussi bien positifs que négatifs, sur la santé mentale et physique des enfants lorsqu’ils grandissent.
Intéressez-vous à la façon et au temps que doit passer votre enfant devant un écran pour faire ses devoirs, suivre des cours en ligne et faire face aux réalités de la vie d’étudiant (tout particulièrement en cette période de COVID-19). Comparez ces facteurs avec le temps d’écran récréatif. Cela peut impliquer de devoir réduire de façon drastique le temps d’écran consacré aux divertissements, tout en rappelant qu’il existe un aussi un monde réel pour ça.
Le plus important est de mettre en place de bonnes habitudes. Les habitudes autour du temps passé devant les écrans qui se forment tôt peuvent avoir des effets durables, aussi bien positifs que négatifs, sur la santé mentale et physique des enfants lorsqu’ils grandissent, mais aussi sur la relation qu’ils auront en tant qu’adulte avec les médias numériques.
Que vous ayez un petit de deux ans qui se croit déjà adulte ou un adolescent rebelle bien décidé à définir ses propres règles, une application de contrôle parental simplifiera la surveillance et la gestion du temps d’écran de toute la famille. Ce qui auparavant mobilisait un village entier ne nécessite maintenant qu’une application intelligente et quelques clics.
Les applications de contrôle parental, comme Microsoft Family Safety et d'autres applications similaires aident les parents à prendre les bonnes décisions sur les limites de temps passé devant l’écran. Elle permet aux parents de fixer des limites d'accès aux appareils de leurs enfants, et de couper totalement leur accès Internet si nécessaire. Cet « arrêt d’urgence » d’Internet peut être actionné à la demande ou bien prédéfini en fonction des heures de classe ou des heures de sommeil, afin que l’enfant ne puisse pas accéder à Internet à l’école ou la nuit.
Les effets du temps d’écran excessif sur les enfants restent sujets à controverse, tout comme le temps qu’ils devraient idéalement passer devant ces écrans. Il est évident que trop de temps d’écran est préjudiciable. Vous avez vous aussi déjà regardé épisode après épisode sur Netflix, jusqu’à épuisement ? Cela peut aussi arriver aux enfants. Les parents de la génération smartphone font face à des problèmes inédits.
Bien que différentes recherches aient pu démontrer que des bébés plus stimulés bénéficient d’un meilleur développement cérébral, il est difficile de définir la limite avec certitude. Difficile donc de savoir quand cette stimulation doit s’arrêter et comment tenir compte de l’hyperstimulation engendrée par notre mode de vie numérique. Mais il y a un consensus clair autour des effets négatifs observables du temps passé devant les écrans, surtout chez les bébés et chez les jeunes.
Ces risques peuvent être classés en risques à court terme et risques à long terme, en tenant compte du fait que les risques à court terme peuvent déboucher sur des problèmes permanents s’ils ne sont pas pris en compte. La sécurité de votre famille sur Internet doit tenir compte du temps passé devant les écrans afin de limiter ces deux types de risques.
Les effets à court terme d’un temps d’écran excessif peuvent se manifester immédiatement. Il s’agit principalement de problèmes physiques liés à une mauvaise posture et à l’exposition à la lumière bleue. Voici les conséquences possibles :
Maux de tête ou douleurs dans le cou et les épaules.
Irritabilité et problèmes de comportement.
Fatigue oculaire, yeux secs et irrités.
Mauvais sommeil ou agitation.
Une étude récemment menée par l’université de Harvard s’est intéressée aux effets négatifs de la lumière bleue sur les cycles de sommeil. Les différents types de lumières ne sont pas tous absorbés par le corps et par nos yeux de la même manière. La lumière verte présente par exemple une plus grande longueur d’onde et contient moins d’énergie que la lumière bleue.
Cette étude compare les effets d’une exposition de 6 heures et demie à la lumière bleue et à la lumière verte et conclut que la lumière bleue élimine la mélatonine (l’hormone qui régule naturellement nos cycles de veille et de sommeil) deux fois plus longtemps que la lumière verte. La conclusion est qu’un temps d’écran trop important avant l’heure du coucher a un effet direct, scientifiquement confirmé, sur la capacité du corps à s’endormir et à rester endormi.
Les effets à long terme du temps d’écran sur le développement des enfants et sur les adultes sont particulièrement inquiétants. Des études menées sur des enfants de maternelle ont démontré qu’un temps d’écran excessif modifie la structure du cerveau, en particulier la région chargée du développement du langage et des compétences de lecture et d’écriture. Voici quelques-uns des risques à long terme d’un temps d’écran excessif :
Obésité due au manque d’activité physique et à un excès de sédentarité.
Myopie due à une surexposition à la lumière bleue.
Manque de sommeil chronique découlant de mauvaises habitudes.
Perte de sociabilité due à la réduction des interactions humaines.
Addiction aux écrans en raison d’une surexposition aux techniques de ludification.
Problèmes de comportement et dépression.
Problèmes de santé mentale, par exemple un risque accru de troubles de l’attention avec hyperactivité chez les enfants de moins de cinq ans.
Modification de la structure du cerveau provoquée par la myélinisation de la substance blanche du cerveau, qui n’est pas totalement formée avant l’âge de deux ans.
Si la question des dommages cérébraux et des problèmes de santé chroniques ne suffit pas à vous faire décoller de votre écran, il existe d’autres études qui associent excès de consultation des réseaux sociaux et phénomènes de dépression, tandis que d’autres démontrent que les résultats scolaires s’améliorent lorsque les téléphones portables sont interdits en classe. Ces problèmes à long terme peuvent survenir à l’enfance ou à l’adolescence et vous poursuivre dans votre vie d’adulte, en particulier si vous intégrez de mauvaises habitudes en termes de temps passé devant les écrans.
Bien que le message reste toujours le même (trop de temps passé devant les écrans est mauvais pour le bien-être des enfants), l’autre grand problème actuel est un microbe de taille microscopique. Pourquoi se préoccuper du temps passé devant l’écran alors que nous sommes au cœur d’une pandémie mondiale et que les enfants doivent suivre les cours en ligne ?
Les facteurs les plus importants pour mettre en place des habitudes saines à long terme, mais tout particulièrement en ces temps de COVID-19, sont un bon équilibre, de bonnes connaissances, et un peu d’acceptation. Le fait de savoir ce que font vos enfants lorsqu’ils sont connectés (travail scolaire, jeu, vidéos sur YouTube) peut vous aider à mettre en place un plan efficace pour arriver à trouver le bon équilibre. Mettez l’accent sur la qualité plutôt que sur la quantité (les interactions dans le cadre scolaire sont de qualité), les contenus adaptés à chaque tranche d’âge, et encouragez les activités hors écran comme les jeux non structurés, l’activité physique et un cycle de sommeil régulier.
L’océan numérique sur lequel naviguent nos enfants est complexe, mais c’est à vous, en tant que parent, de rester capitaine du navire. Toutes les applications ne sont pas bonnes à jeter, mais certaines peuvent être très dangereuses pour les enfants et doivent donc être proscrites.
Plus vos enfants sont jeunes, plus la distinction entre contenu actif et contenu passif est importante. Les enfants aiment par-dessus tout constater l’impact qu’ils ont sur le monde qui les entoure. Prenons l’exemple des boutons. Vous avez certainement déjà vu des enfants appuyer encore et encore sur un même bouton. Le lien entre l’action et son résultat (ou entrée et sortie) est fascinant, et il s’agit là d’un facteur important dans le choix des applications que vous pouvez laisser votre enfant utiliser. Privilégiez les applications adaptées à l’âge et proposant du contenu interactif de qualité plutôt que les applications passives comme celles des réseaux sociaux ou des vidéos en streaming.
Il est aussi important pour l’éducation des enfants nés avec les réseaux sociaux d’assurer leur sécurité sur Facebook, de les protéger des fonctionnalités problématiques d’Instagram et de déterminer à quel moment Twitter peut être utilisé. L’appareil ou le téléphone mobile de votre enfant ne devrait contenir que des applications adaptées à son âge. Passez-les en revue ensemble et expliquez les raisons du choix des applications. Il n’est jamais trop tôt (ni trop tard) pour prendre de bonnes habitudes en matière de temps passé devant les écrans.
Vous pouvez vous appuyer sur une application de contrôle parental pour surveiller le temps passé devant l’écran et restreindre le contenu accessible sur Internet en fonction de l’âge. Ces applications vous permettent de bloquer facilement le contenu potentiellement dangereux comme les applications des réseaux sociaux, de créer des filtres de contenu personnalisés et de définir des alertes automatiques pour vous avertir lorsque l’enfant arrive à un endroit ou le quitte.
Une fois ou votre application de contrôle parental favorite téléchargée et installée, passez de nouveau en revue, vous et votre enfant, les bases de la protection de la vie privée sur Internet.
Expliquez à vos enfants qu’il ne faut pas dévoiler trop d’informations personnelles sur les réseaux sociaux ou sur les autres sites. Assurez-vous aussi que vos enfants ont bien configuré leurs paramètres de sécurité sur Facebook et renforcé les contrôles sur la confidentialité sur Instagram. C’est valable pour vous aussi ! Il existe également des paramètres de contrôle parental intégrés à Android et un système de contrôle parental intégré sur iPhone. Vous disposez donc de nombreuses options pour vous assurer de la sécurité de vos enfants sur Internet.
Trop de temps d’écran, c’est aussi moins de temps pour le jeu. L’idée est ici de limiter et non d’éliminer le temps passé devant les écrans, tout en définissant un contrôle parental qui travaille avec vous pour assurer la sécurité de vos enfants sur Internet. Voici quelques conseils pour que vos enfants puissent naviguer en toute sécurité et se déconnecter lorsqu’ils en ont besoin.
Donnez l’exemple. L’approche « fais ce que je dis, pas ce que je fais » ne fonctionne que rarement. Aidez vos enfants en leur donnant un exemple à suivre. Donc, mettez votre téléphone de côté.
Définissez des plages de temps sans écrans. Tout le temps passif devant les écrans compte, par exemple lorsque la télévision est allumée en permanence. Rangez les appareils pour éviter toute tentation et n’achetez un téléphone à votre enfant que lorsque le moment est venu.
Surveillez les activités devant l’écran. Parfois la confiance suffit, parfois non. En suivant vos enfants en ligne et en définissant des limites avec une application de contrôle parental, vous savez exactement à quel moment dire stop aux écrans.
Plus d’écran 90 minutes avant l’heure du coucher. C’est la même chose pour les adultes. Tout temps passé devant un écran avant l’endormissement a un effet direct sur la qualité du sommeil. Définissez des plages pendant lesquelles les écrans ne sont tout simplement pas autorisés, par exemple à l’école, le soir ou pendant les repas.
Mettez en place un système de récompenses. Avec un graphique du temps d’écran mettant en avant les comportements positifs, vous êtes mieux à même de déterminer si ce temps d’écran découle d’un comportement adapté ou s’il est nécessaire d’imposer plus de tâches à la maison, de devoirs ou plus de temps à l’extérieur.
Mettez l’accent sur le contenu actif, et non passif. Favorisez les situations d’interaction avec ce qui se passe à l’écran (écran tactile, jeux d’apprentissage adaptés à la tranche d’âge ou appels vidéo). Les temps d’écran passifs sont généralement plus longs, et il est donc préférable de les éviter autant que possible.
Internet offre un éventail illimité d'expériences en ligne. Et si une grande partie du monde en ligne est sûre, tous les contenus ne sont pas adaptés à tous les membres de votre famille. Lorsque vos enfants naviguent sur le Web, il suffit parfois d'un ou deux clics par inadvertance pour qu'ils se retrouvent sur des contenus inappropriés ou dangereux.
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